Gallions : 102
And they just won't stop screaming.
. »
Père- Elijah Way : Un homme plutôt froid et peu présent mais qui assume ses responsabilités de père et époux.On ne peut pas vraiment lui reproché quoi que soit si ce n’est d’être plus proche d’un meuble que d’un être humain. Il semble toujours pareil à lui-même et d’une constance parfaite.Il n’a jamais réussi à comprendre Asmodeus mais il ne lui a jamais fait de mal. Leur rapports sont longtemps restés cordiaux mais distants . Il est resté vivre aux Etats-Unis et Asmodeus à finis par ne plus vraiment répondre aux lettres de son père depuis que sa mère est décédée.
Frère & sœur- Baal et Assiah Way : Il a 23 ans et elle en a 19. Ils n'ont jamais vraiment été proche d'Asmodeus et ne se sont jamais revu depuis son départ en Angleterre. Asmodeus à reçu récemment une lettre de sa jeune sœur qui cherche à reprendre contact mais il se refuse catégoriquement à y répondre. Il ne l'admettra pas mais il juge plus prudent de ne pas la laissée entré dans vie...il pourrait la brisée elle aussi et elle ressemble certainement tellement à Lilith.
Making every promise empty, pointing every finger at me. »
"Oh putain ça me gave déjà ! Comme si j'avais envie de raconter ma vie pourrie à qui que ce soit. Le tout pour finir par obtenir un regard condescendant? Fou le toi ou je pense, tourne et enfonce bien profond. Si je me livre aujourd’hui, c'est parce que j'y suis forcé, que je n'ai pas le choix, alors t'avise de juger quoi que soit. Tu peux pas comprendre...Ne cherche même pas ! C'est au-dessus de tes capacités. Et ferme la quand je parle, je pourrais perdre le fil et ça deviens pas joli ..."
WHEN I WAS A WORM
Je suis né le soir d'Halloween ! Si ça c'est pas une fabuleuse ironie pour le monstre de foire que je suis ! Si j'étais du genre à croire au destin, je crierais au scandale mais je suis de ceux qui pensent que le hasard régis nos vies. Comme le hasard qui a fait que mes parents que mes parents se sont rencontrés et se sont aimés suffisamment pour décider de me pondre. Je suis le premier né de la famille Way et malgré les inquiétudes de ma mère j'étais largement désiré par mes deux parents. Ouais un putain d'enfant de l'amour ! Ça ne vous borde pas le cul de nouilles pour autant. Je suis fou ! Tu parles de la fée qui s'est penchée sur mon berceau, une belle garce celle la.
J'avais six ans lorsque l'on s'est rendu compte que je souffre du même mal que ma mère. Elle entendais des voix depuis son plus jeune âge mais elle parvenais à le gérer suffisamment que pour avoir une vie plus ou moins normale et équilibrée. C'est ce qu'elle voulait me transmettre...ce semblant de sérénité que je n'ai jamais pu effleurée. Nous avons tout de suite formé un duo inséparable, je puisait en elle ma force et chacune de ses actions me servait de repaire et de guide. Comme une lumière qui m'indique qu'elle voix écoutée dans ma tête. M'apprenant toutes les nuances de gris qui séparent le blanc du noir.
Mon frère et ma sœur sont venus au monde dans ma plus grand indifférence. je pense qu'ils se sont toujours sentis rejeté par ma mère et moi. Mais eux...ils ne sont pas fou ! Mon père aussi se sentais rejeté mais cela semblait presque lui convenir puisqu'il n'avait pas réellement à s'occuper de moi et de mes sautes d'humeur ravageuses. J'ai pendant longtemps évité tous contacts avec mes camarades d'écoles. Solitaire et silencieux, je me contentais de raser les murs...jusqu’à la découverte de mes pouvoirs. J'avais dix ans lorsque ce fils de pute qui me bousculait c'est retrouvé propulser à travers une vitre sans même que je l'ai effleurer. Devant les surveillant évidement, c'est pas drôle si personne le vois! Et bien évidement, c'est toujours la victime que l'on blâme d'avoir répondu à l’agresseur. Je voudrais les voir morts...accessoirement. J'ai étudié un an à la maison avant d'être envoyé à la Ravenswood school for young wizzards. L'école de sorcellerie américaine.
" Par toutes les putes d'Angleterre ! Je fatigue déjà ! Tu vas pas me faire croire que ce que je raconte t'intéresse?!? Tu pense certainement qu'a ton cul comme touts les autres. Mes voix commencent à se battre et je risque d'avoir du mal a démêlé le vrai du faux...Ne prends pas tout au pied de la lettre ! Ah oui ! Mes voix ! Si tu t'avise d'en parler ces tes couilles ou ton utérus qu'on verra accroché demain matin au aiguilles de l'horloge de Big Ben. Tu me diras pas que je t'ai pas prévenu! "
WHEN I LEFT THE WOMB
Quitter ma mère fut le pire des calvaires. J'en ai chié putain. Comment faire pour m'en sortir sans elle? Comment mettre un pied devant l'autre sans trébuché et sans sa main tendue pour me rattrapé? Je me suis concentré sur l'apprentissage de la magie et j'en avais besoin. J'ai toujours eu des problèmes d'apprentissage. J'ai le cerveau ravagé ! L'état de ma mère à commencer à empirer à cette époque mais, elle n'en confiait pas un mot...
J'ai rencontré Jared quand j'étais en troisième année. Je l'ai tout de suite trouvé différent de tout les autres. Il était capable de me sortir de ma torpeur et de mes retranchements. Il me faisait vibrer, me faisait vivre. Mon meilleur ami, mon premier amour. Jared ne se doutais pas qu'il jouait avec le feu.Faussement torturé, il jouait les durs mais, il n'étais pas près à endurer ce que je lui ai fait subir. Possessivité extrême, culpabilité. Dans la douceur de ses bras je lui ai confié que j'entendais des voix et cela à tout compliqué. Comme si je me sentais désormais en droit de me laisser aller à foutre la merde comme bon me semblait...Je lui ai pourris la vie. Ce connard n'a pas vu d'autre issue possible que de se pendre dans la grange derrière chez lui pendant les vacances d'hiver. Je ne suis probablement pas le seul responsable de sa faiblesse mais j'ai été la mauvaise conscience qui a guidé son geste. C'est pourquoi je n'ai plus jamais parlé de mes locataires encombrants à qui que ce soit.
Le suicide de Jared à réveillé tout mes démons. Sous le poids de la culpabilité j'ai faillit sombrer. L'été suivant ma mère ma annoncé qu'elle allait divorcer de mon père. Nous sommes partis pour L'Angleterre, tous deux persuadés que le changement d'air nous ferais le plus grand bien. Je n'ai jamais pu retrouver celui que j'étais avant et depuis lors je me perds un peu plus chaque jour.
" Bon les choses vont commencées à se compliquées la ! Ouais parce que évidement ça suffit pas déjà comme ça ! Je ne me tiens moi même pas pour responsable de mon récit de la suite des événements. Tout se barre en couille. Certains de mes souvenirs sont plus que confus et altérés par la folie, les substances, le dénis, la douleur...Un putain de marasme qui t'englue et ne te laisse jamais te dépêtré. Démerde toi avec ce que je suis capable de te donner. Je peux pas faire mieux alors....ta gueule!"
WHEN I MET THE 7 DEADLY SINS
Arrivant en cinquième année à Poudlard, j'ai été répartis à Serpentard. Je repartais à zéro et j'ai indéniablement changé de comportement. Je ne cherchais pas vraiment les rapports sociaux mais ne les fuyais plus vraiment. Je me suis rapidement fait autant d'amis que d'ennemis...Non! Si j'y réfléchis vraiment...Plus d'ennemis que d'amis. Voulant à tout prix cacher ma maladie, j'ai compenser par une personnalité bien trop exacerbée. Tatouages, scarifications, drogues, excentricités, alcool, sexe...tout était bon pour me sentir vivant, me distraire, me faire oublier... Me faire perdre pied ouais? Je tiens à signaler en passant que je n'ai jamais retrouvé la surface.
Poussant le vice au plus loin et perdant tout discernement...Tout en ne reniant pas y avoir pris du plaisir. J'ai violé ce jeune Serpentard du nom de Quentin. Je lui ai filé la trouille et l'humiliation de sa vie. J'y ai perdu un peu plus de moi-même au passage. A force de chantages, il n'a jamais parlé et à quitter Poudlard quelques mois plus tard. Une vie de plus que j'ai gâchée. J'en retire haine et...satisfaction. Je ne sais plus vraiment. Je ne vous parles que d'hommes car ils ont ma préférence mais je n'ai jamais renié le plaisir que peut apporté une femme. Elles sont bien souvent un meilleur réconfort et cela doit être pour cette raison que je suis convaincu de ne pas les méritées. L'homme et toute sa cruauté sont tout ce que je mérite.
" Le pire reste à venir. Si tu t'es tapé toute cette confession ce serait con de décrocher maintenant. Comme on pourrais dire c'est le meilleur épisode, le tome le plus croustillant, la une du magazine...Caly. Le moment ou tout prends un sens et ou tout s'écroule à la fois. L'instant suspendu, le point de non retour. Des putains de mots tout ça ! Incapable de résumé la complexité de ce bordel. je te préviens que je comprend pas moi même alors si parfois tu as du mal à voir le but et le sens de tout ça , je te le dis de suite...Je ne suis pas certain qu'il y'en ai un mais c'est justement ce qui rends tout ça si savoureux."
WHEN I FELL INTO THE EYE OF THE STORM
Il existe ces instants qui changent toute votre vie. Aussi insignifiants qu'ils puissent paraître sur le moment, ils sont pourtant le déclencheur du reste de votre existence. Ma rencontre avec Caly fut l'un de ces moments. Dès que j'ai posé les yeux sur lui, j'ai revu tout ce que j'aimais en Jared et je suis tombé dans le piège à la première seconde. Il en crèverait de savoir qu'il me fait penser à mon ex ahahaha! Ce sentiment m'est pourtant passé depuis lors...Caly et Jared n'ont absolument rien avoir l'un avec l'autre. Caly à tout de suite été une drogue pour moi. La plus réconfortante et la plus ravageuse à la fois. Ses mots, le son de sa voix, ses lèvres, sa queue...Je suis contaminé et condamné à vie à n'aspirer que à lui. Je le hais pour l'emprise qu'il à eu sur moi depuis le premier jour mais je l'aime pour sa façon d'être unique. Ce qui compte ce n'est pas ce que je ressens pour lui mais ce que je ne ressens pour personne d'autres que pour lui. Ce fils de pute.
Nous sommes rapidement devenus inséparables. Dire que c'était pas son genre de bander pour un mec ! Lui qui rêvait à la douce et belle Susi. Il s'est tout simplement retrouvé dans les draps de la bête. Revenir sur les détails de notre histoire ne ferais que me rendre encore plus fou. Rien que de l'évoquer j'en ai la bite qui se tends et l'estomac qui se retourne. Une suite de disputes monumentales et de baises magistrales. Les hauts les plus hauts et les bas les plus bas. Des montagnes russes sans rails, un saut sans filet. On s'y brûle les ailes tous les deux mais on s'y complaît comme une mouche sur son tas de merde. Notre talent pour la destruction n'a pas d'égal et même si j'ai peur de l'issue, je veux goûter à chaque secondes du combat.
Nous avons finis par emménager ensemble tout en continuant de pourrir la vie de notre entourage. Personne n'est épargné et les dommages collatéraux sont nombreux. Nous sommes toxiques, du genre qu'il serait intelligent de fuir. Nos vices se décuplent au contact l'un de l'autre nous emmenant dans une spirale sans fin. Parce que je refuse d'y voir une finalité quel qu'elle soit. La seule règle à laquelle Caly n'échappe pas est que je n'ai jamais admis entendre des voix devant lui. Il doit bien s'en douter malgré son QI émotionnel de brosse à chiotte.
" Si j'ai encore des choses à dire c'est que mes pieds n'ont pas encore atteins le fond du lac. Pourquoi une lavette comme moi, complémentent périmée du cerveau irait osé attendre plus que ce que j'avais déjà. Perdu, paumé...Pourquoi m'a t'il donné l'espoir et sortis de ma léthargie? Je me maudits d'avoir voulu sentir son amour pour moi si seulement il existe. Je ne le mérite même pas de toute façon. Je ne comprends pas ce qui s'est passé. Je vais trop vite ! Laisse moi revenir en arrière. Sois indulgent putain ou j'en reste la et peux crever pour savoir la suite."
WHEN I'VE HIT THE DOWNWARD SPIRAL
Je ne peux pas l'expliquer ! Tout se bouscule dans me tête. Le décès de ma mère. Son suicide après qu'elle ai définitivement sombré dans la folie. J'avais besoin de réconfort, besoin de Caly d'une façon qu'il n'aurait jamais été capable d'assumée. Plus rien n'a de sens, ni queue ni tête, l'horloge qui tourne carrée...Je m'étais tatoué pour lui...Une pièce de lingerie...Kaprice...Dans quel ordre ? Je ne sais plus pas après la façon dont je me torture la mémoire pour raconter ma vie. Ou alors plutôt que je ne veux pas faire face à la douleur que tout cela représente.Parce que je serais incapable de continuer à parler ou à respirer. Il est loin, inaccessible, dans les bras de tous les autres sauf les miens. Comme plongé de le noir, comme si plus rien n'avais de gout en dehors de ce putain de semblant de fierté qui m'empêche de me rouler à ses pieds comme le chien que je suis.
Je ne tente même pas de faire bonne figure. J'ai péter les plombs et si Kaprice n'avait pas été la j'aurais probablement envisagé très sérieusement de finir comme ma mère. Kaprice est désormais indispensable à mon équilibre bien que je ne suis pas convaincu qu'elle en sois ravie. J'ai transmis en elle l'espoir du réconfort apporté par ma mère il fut un temps. Kaprice est mon refuge , le nounours que je voudrais serrer dans mes bras le soir. J'ai bien cru vouloir un jour couché avec elle mais cela m'est passé à mesure que mon respect pour elle n'a cesser d’augmenter. J'ai logé chez elle deux semaines avant qu'elle ne m'aide a trouver un petit studio. Je vivais plus ou moins au crochet de Caly et de mes vagues petits boulots. C'est à ce moment la que j'ai commencer à traîner dans des trucs de moins en moins nets pour subvenir à mes besoins. Je livre des trucs...Je suis pas certain qu'il sois sage d'en parler. Des mauvais personnes pourraient jeter un œil ici et j'ai pas besoin de plus d'emmerdes.
Je ne devrais pas me foutre dans les ennuis comme ça. J'ai besoin d'argent pourtant et je suis incapable d'assumer un boulot normal. Je ne suis pas du genre à faire des cas de conscience ou alors je ne l'étais pas...Je veux m'en convaincre plutôt. Venons en à Saoirse...Je l'ai rencontrée un soir ou je buvais à en oublier mon nom dans un bar. Je n'ai désormais pas de doutes sur le fait qu'elle est du genre à ramasser les chiens errants et à embrassés les causes perdues. Dans mon cas ce n'est pas un élan de pitié qui m'a attiré vers elle mais plutôt sa beauté fragile et renversante. J'ai vu en elle une porte de secours et j'ai foncé dedans. Je l'ai ramenée chez moi et elle n'est jamais vraiment repartie depuis... Nous avons passé trois semaines de pur passion. Ne dit on pas que le meilleur moyen d'oublier quelqu'un s'est de se jeter dans une autre relation à corps perdu?
Noyé dans les bras et les assauts de Saoirse j'ai endormis ma douleur. Je n'ai jamais oublier Caly, jamais sentis le moindre de mes sentiments diminué pour lui. J'en meurs chaque jour du manque de lui mais Saoirse a empêché l'hémorragie interne. Les choses commençaient à se gâtée doucement entre nous...qui peut vivre avec un fou comme moi en dehors de Caly Alifay? C'est à ce moment que Saoirse m'a annoncé la nouvelle qui me coupe le souffle depuis que ces mots ont quitté sa bouche. Elle est enceinte de moi, elle garde le bébé et je n'ai pas mon mot à dire la dessus...Une bébé Putain de bordel de merde. Est ce que cela fait par définition de moi un futur père? Putain ! Le monde s'écroule alors que je suis réduits à néant par la peur de transmettre ma folie maladive à un petit être innocent. J'en crève de cette inquiétude et je me sens déjà responsable. Que serait je devenu sans mère?je ne peux pas abandonné cet enfant ! Mais je en serais jamais à la hauteur de ma mère. Je n'ose pas en parler à Saoirse mais je vais devoir m'y résoudre et confier ma maladie pour la première fois depuis Jared. J'en tremble...
Mon instinct de protection à pris un coup de boost monumental. Saoirse et la vie qu'elle porte dans son ventre m'appartiennent. Enfin Saoirse seulement tant qu'elle porte mon enfant. Elle sais que j'aime Caly et j'ai peur qu’elle finisse par réaliser que je suis réellement une cause perdue. Que se passera t'il lorsque que le bébé viendra au monde ? Et si Caly venait à l'apprendre? En aurait il seulement quelque chose à foutre? J'ai presque peur de croire que oui. Tout se complique encore comme si la marmite n'étais pas déjà pleine!?! Ce petit être grandis et à cause de moi...va être propulsé dans ce monde de merde. Et pourtant le principal de mes soucis reste Caly et le putain de gouffre que son absence laisse en moi. Je veux qu'il me revienne à tout prix...enfin plus n'importe lequel...j'aime déjà cet enfant et si Caly ne finit pas par l'accepté, je risque pour la première fois de devoir faire le pire des choix. Caly, Caly, Caly...Putain je ne veux pas renoncé, jamais !
" Me voila donc attendre la sentence. Saoirse est enceinte de 5 mois et je la couve et la surprotège. Je ne m'en serais jamais cru capable. Comme le fait que j'envisage de demander à Kaprice de devenir la marraine de mon enfant. Suis je seulement capable d'être un père? Je vais pourrir cet enfant jusqu’au trognon, à mon contact rien ne peux se passer correctement. Je devrais partir et renoncer, Choisir la facilité ! Saoirse ne voudra probablement plus que je la voie elle et le bébé quand elle saura pour ma "condition". Ce qui m’obsède cependant plus encore c'est Caly. Ou est il ? Que fait il? Quand pourrais-je enfin à nouveau lui hurler dessus pour finir par me faire défoncé comme jamais...QUAND ? C'est finalement uniquement de lui dont j'ai besoin...n'est ce pas? "
« Why can't we not be sober? I just want to start this over. Why can't we drink forever.I just want to start things over.
I am just a worthless liar. I am just an imbecile. I will only complicate you. Trust in me and fall as well. »
Je laisse échapper un grognement tout en refermant un peu trop violemment la porte derrière moi. Sous prétexte que je vis avec une fille, une femme... je me dois apparemment de fermer la porte lorsque je vais couler un bronze. La pudeur serait une bonne chose ! Je m'installe sur la cuvette froide tout en ne cessant de pester entre mes dents. Je ne me fait pas du tout à la vie avec Sarsoise. Ce n'est probablement pas de sa faute mais, cela ne ressemble en RIEN à la vie que je menais avec Caly. La seule façon de vivre qui m'ai jamais convenue était celle que j'avais au près de lui. - Bute la ! C'est réglé facilement ce genre de problème ! Je grimace et me force à me rappelé qu'elle porte en elle une partie de moi. C'est moi qui veux qu'elle soit la ! Je me dois de veiller sur elle et sur la vie qu'elle porte. Je me prends souvent à rêver que cet enfant n'est pas de moi , il en vaudrait mieux pour lui ! Sarsoise m'affirme pourtant que je suis bel et bien le géniteur. Père n'est pas un mot que je suis prêt à employer. Je n'oublie pas non plus que j'apprécie Sarsoise mais, je n'ai pas de doutes que sans le bébé nos chemins se seraient séparés.
Séparés...pour mieux retrouvé un autre chemin...Celui de Caly. -Toujours lui!- Oui ! Toujours lui ! Il occupe chacune de mes pensées, chaque partie de mon corps ne peux plus supporter le manque de sa présence. Je m’accroche mais aucune lumière ne brille plus que la sienne. C'est peut être justement ce qui me fait peur maintenant que...- Quitte tout, retrouve le , baise le, tue le... Les choses pourraient réellement être si simples? -Qui d'autres que toi envisagerais la mort et le sexe comme des choses simples?- Je profite de ma frustration pour chier enfin. Plop. Victoire! - Tirer satisfaction et accomplissement de sa propre merde ! bravo!- Et si il n'y a que de cela dont je peux être fier? Je tends distraitement la main sur le coté pour poser les doigts sur un rouleau vide. Nouveau grognement instantané. Je pourrais appeler Sarsoise sauf que ça me péterait littéralement le cul de l'entendre me dire que j'aurais pu y penser avant !
J'envisage de ne pas me torcher le cul, lorsque j’aperçois sur le sol la gazette du sorcier. Je hausse les épaules avec l'air de ceux qui ne sont pas du genre à faire les difficiles. Mon regard se pose sur la couverture et j’aperçois l'article qui y figure. Il parle d'une série de meurtres sanglants. Les victimes sont des moldus. - Qu'ils crèvent! - Je voudrais que cela me touche mais moldus ou non je suis totalement indifférent...je le serai toujours à moins d'y voir apparaître le nom de Alifay dans la rubrique nécrologique. J'arrache la page et me torche le cul avec avant de la jetée dans la cuvette. Je tire la chasse d'eau et un bruit pas nette s'en échappe...l'eau remonte. Et merde. - Incapable. Je sors ma baguette de ma poche et enchaîne une série de sortilèges qui me permettent de dissoudre le papier tout en limitant le débordement de l'eau. -Parce que penser aà te servir de ta baguette quand t'as pas de PQ ça te viens pas à l'idée ça?
Asmodeus - Ferme ta gueule putain...t'en rajoute! Ça te plait ça de foutre de l'huile sur le feu. C'est toi qui devrai finir au fond de cette toilette salope de merde.
Je peste de voir mes chaussures trempées mais ce qui fait monter la pression ce sont les pas que j'entends derrière moi.
Sarsoise - Asmo? Qu'est ce que tu fou?
Je referme brutalement la porte et m'enferme dans la toilette comme une gamine de quinze ans frustrée de ne pas avoir obtenu ce qu'elle veut. Je réponds à travers la porte.
Asmodeus - Rien qui t'intéresse ! Laisse moi gérer ma merde tout seul.
Et je l'entends repartir dans l'autre sens. J'ai parfois l'impression qu'elle laisse tomber, comme si elle voulait me préservé. J'en suis ravi et terriblement irrité à la fois. Je me laisse tomber sur le sol humide, j'en ai plus rien à foutre à ce stade.
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