Gallions : 102
Une lettre est posée devant votre porte, sur le dessus brille le sceau du ministère. Il s'agit sans doute d'un courrier officiel. Lorsque vous l'ouvrez, il en est tout autrement. Vos yeux se figent aussitôt, ensorcelés par le papier. Il est impossible de les décoller, votre âme est comme aspirée par le contenu de cette lettre qui commence par ces mots...
Dorian Carroll-Gresham
Vous ne pouvez pas m'échapper.
Commencez par les bases en me déclinant votre identité :
Nom, Prénom(s): Carroll. Gresham. L'un est celui de ma mère. L'autre. Celui d'un père qui m'est inconnu. D'une famille qui ne comprend pas ma présence ici. Dorian. Un nom grec. Et pour parfaire la chose, signifiant le « Don de dieu ». Comme quoi, rien que mon prénom signifie être l'être le plus parfait pour mes parents...
Âge, Date et Lieu de naissance : J'ai 20 ans. De belles dents, et de beaux cheveux sur la tête. 20 piges quoi... Je suis né durant une belle nuit d'orage, celle du 15 juin. Année 1976. Un bon cru, je crois. Et plus précisément à Sutton, dans la banlieue sud-ouest de Londres. Pas de quoi en faire un plat...
État Civil : Célibataire. Pas la peine de la faire tuer par ma mère, le cimetière n'aurait plus de place.
Profession : Il est particulièrement difficile pour moi de suivre de nouvelles études, ou de profiter d'une profession. Qui sais, peut être qu'à l'avenir... Mais tout de même, je tente l'impossible depuis deux ans pour rejoindre le corps médicomage dans le plus grand secret...
Signe(s) particulier(s) : Plusieurs choses en effet. J'ai sur mon flanc droit, un aigle, aux ailes déployées, noir, grand d'une quarantaine de centimètre, tout aussi large. J'ai une cicatrice, partant de la pointe de ma mâchoire, et courant jusque dans mon cou. J'ai aussi une marque de naissance qui ressemble à une étoile. À chaque fois que je la regarde, j'ai l'impression que celle-ci servira à quelque chose. Quoi ? Je ne sais pas... De par ma nature d'Animagus, j'ai progressivement changé de couleur d'yeux, pour arriver aux résultats d'aujourd'hui. Un vert. Un bleu.
Effet(s) Personnel(s) : « Tu est sorcier, pas moldus ! » me dirait sagement ma mère. C’est ainsi que je me retrouve à caché la plupart de mes affaires. Surtout mon portable. Un petit téléphone, pas de quoi en faire une histoire. J’ai aussi une jolie petite besace en cuir contenant un ou deux carnet à croquis, une trousse avec différents feutres, stylo et crayon. Ma baguette évidemment. Ainsi que mes lunettes de soleil.
Baguette Magique : Bois d'ébène. Ventricule de Dragon à Pointe Albinos. 34 cm. Poignet Sculptée. Filet d'argent incrusté. Aigle gravé sur la poignet.
J'exige d'en savoir plus ! Vos choix, vos peur, vos désirs et tout ce qui fait ce vous êtes :
Famille : Ma mère, Jasmee Carroll Gresham. Mon père, Isaac, soit disant lache, fou, traître envers notre propre famille, certainement mort, peut-être pas. Mes oncles et tante. Asaël ; Gabriel ; Judith. Mes grands-parents paternels. Charles et Lyanna.
Pureté du sang : Si je suis né d'un sang pur et d'une sang pur, je crois effectivement l'être aussi. Je me trompe ?
A Poudlard/Autre école : Poudlard, évidemment, dans ce château miteux et poisseux que j’ai toujours tellement plus apprécié au foyer familial… Et obligatoirement. Serpentard. Quoi de mieux pour un Gresham, que les verts et argents.
Epouvantard & Patronus : Mon Epouvantard. C'est un épouvantard, me montrant, en train de tuer ma mère, et tous ceux de ma famille. Il me terrorise, les frissons parcourent mon corps à une vitesse si grande que je m'en glace les os. Mon Patronus, quant à lui, est identique à ma transformation. Un aigle noir, grand de deux mètres d'envergure.
Particularité(s) : J’ai la particularité depuis mes seize ans, de m’entraîner, à devenir un Animagus, en un aigle noir. Voir plus bas
Comment avez-vous réagi à l'annonce de la mort d'Albus Dumbledore ? Dumbledore. Un grand sorcier. Ce matin, c'était à moi d'aller chercher le journal. J'en suis resté, bouche bée, statufié, me liquéfiant sur place. Albus Dumbledore, le grand, celui qui nous a formées, accueillis, agis en un père magistrale. J'en ai versé une larme, j'en ai eu mal au cœur durant tout un mois. Lui a la chevelure d'argent, lui, ne serait plus. Repose en paix mon cher ami, car sans toi, ici, la paix n'est plus. J'ai toujours une pierre quelques parts dans mon esprit qui me perturbe à chaque fois qu'on évoque cet homme qui représentait tout pour moi.
Vous-Savez-Qui est dans la pénombre, où il règne en maître. Décrivez le ressenti quotidien de votre personnage, sa place au milieu du chaos qui s'étend sur toute l'Angleterre. Je vis dans un bastion, où, la corruption à déjà fait sa place. Je suis dans un lieu, où, mon esprit se sent lié, car mon destin est de devenir, un soldat, qui sait, un lieutenant de ce mal, rongeant, petit à petit, toute terre autour de moi. Oh, je vis mal, si mal de sa présence, j'y suis confronté encore plus chaque jour. Et je n'y peux rien, car après tout, j'ai choisi cette voix. J'ai tendance à essayer d'évacuer ce mal, de toutes les façons possible : dessin, écriture, magie... Mais je suis là, à attendre, qu'il vienne, et m'emporte, faisant de moi, un homme faisant du mal...
Pensez-vous qu'Harry Potter soit toujours en vie? Si oui, si votre route croise la sienne, que feriez-vous ? Harry Potter. Tu es dehors et pourtant, personne ne sait que tu es en vie. Oh, je suis sure que tu es en vie. Sinon pourquoi toute les forces du mal, touts nos Mangemorts se mobiliserais ? Souris, soit heureux de respirer, là, quelques parts dans notre monde, où tu pense que rien ne peut atteindre pour le moment. Je t'envie. Oh, je suis sure que tu es en vie. Oui. Je pense que je ferais ça. Te laisser respirer encore dans notre monde.
Pour savoir qui tu es j'ai besoin de connaître ton passé :
Sifflant. Grondant. Orage et vent danse, dans le sombre ciel de cette nuit du 15 juin. Nous sommes en 1976. Il est certainement trois heures du matin. Les hurlements de ma tendre mère sont en train de réveiller les morts de la tombe familiale. Les éclairs tombent ici et là. Mère nature accompagne la douleur de ma douce mère. Elle partage avec elle la souffrance de l'évènement. Moi aussi. Moi aussi, j'ai hurlé. J'ai fait travailler mes poumons. Mon dieu qu'ils étaient puissants. Le docteur à souris, me tenant dans ses bras puis me passant à son infirmière. On m'a emmené quelques parts. Certainement dans une salle de soin où j'ai été chéri pendant de longues semaines. Je suis né dans cet hôpital de Sutton. Un charmant hôpital, comme celui de Lady Diana ou Kate Middleton ont fait naître leur enfant. Tout à l'intérieur est fait pour que Madame soit aux anges. Du moins, c'est ce que laisse penser ma tendre Mère...
Madame à eu raison de choisir tel endroit pour faire naître son garçon. Lui qui pensait, espérait vivre une vie totalement normale. Je crois que la normalité fait de vous des cas hasardeux, des cas bizarres. Il ne faut pas. Certainement pas être normal. Il faut montrer que l'on est une exception. Et comment ? En poussant son enfant, à être l'excellence même. Oui. J'ai été le garçon dont on en demandait toujours plus. J'ai été mis entre deux blocs de béton, œillère sur les yeux, sortant presque le fouet pour me faire avancer. Pourtant, avec ce train de vie intensif, j'ai eu tout de même des moments à moi. Des moments où j'avais le droit de voir un rayon de soleil, de tenir un crayon de couleur dans les mains, d'écouter et de jouer de la musique. Et à nouveau, ma famille à prit le dessus pour que même mes moments de liberté deviennent des compétences d'excellences. Malheureusement, ce genre d'éducation, est, certes, aux vu des résultats, formidables, ce qui l'est moins par contre, c'est le devenir de l'enfant. Moi, ce petit bout de chou, aux yeux clair, je suis devenue durant une longue période, un enfant totalement muet, beaucoup trop obéissant et plus discret que nature.
Cette attitude, m'a valu, par famille et leur ami, bien des tourments. Je me souviens même que l'un des enfants de ceux-ci, plus avancé en magie, m'a provoqué en duel. Moi. Ce garçon, n'ayant même pas de baguette que celle que sa mère lui prêté pour apprendre. C'est dans un jardin, à l'abri des regards de nos parents respectif, qu'il a commencé à me menacer. Oh. Il ne savait pas encore ce que lui réserverait ma protectrice de mère. Agitant sa baguette, qui n'était rien d'autre qu'un morceau de bois pour lui, prononça les quelques bribes latines d'un sort, laissant une magie destructrice me frapper. Un éclair. Ou je ne sais quoi. Je venais d'être envoyé dans les airs. Je fis la rencontre d'un arbre et de ses multiples bras et doigts, pour finir par tomber lourdement à terre, inconsciente. Un tour à St Mangouste, pour me faire recoudre une partie de la mâchoire et du cou, et je commençais avec 4 ans d'avance des cours de magie. Ma mère à même fini par m'offrir un animal de compagnie pour la prévenir. Et quoi de mieux qu'un oiseau, mais pas n'importe qu'elle oiseau. Un aigle. Noir. Aux yeux... Vairons. Exceptionnelle non ? Je me suis réhabilité ma voix, essentielle à l'apprentissage des sorts. J'ai fait différents sports de combat, comme pour rassurer ma chère maman.
Et le moment est arrivé. Une lettre. Une lettre, dans une enveloppe, blanche, au sceau de cire, au sceau de Poudlard. Joie. Non seulement pour moi, mais pour toute ma famille, qui va pouvoir voir la réussite du dernier des Gresham. Oh oui. Les quatre ans d'avance en magie, et toutes les autres compétences développés... Ils n'attendent que ça. Je vais pouvoir respirer. Vivre. Les jours suivants, ma mère a pris un malin plaisir, ce genre de plaisir où tu fais partager par force, à m'emmener faire du... « Shopping. » Oui. Vous avez bien lu. Shopping. Mais c'est durant ma soirée de félicitation avec la plupart de ma famille et de leurs amis, que j'ai reçu les plus magnifiques cadeaux. Ma mère, minutieuse, est celle qui m'a offert, l'objet qui compte le plus pour moi. Ma baguette. Une baguette rare. Ébène. Presque 35 centimètres de long. Rigide. À la poignée sculptée, aux initiales gravées et aux filets d'argent incrustée. Mais ce qui reste exceptionnel. Mon dieu. C'est ce que contient cette baguette. Un ventricule de dragon. Mais pas n'importe qu'elle dragon. Un dragon, à pointe, ce qui reste en sois déjà très rare. Ajoutons en plus que celui-ci est albinos. Oui. Un ventricule de dragon à pointe albinos, dans une baguette magique.
Je me souviendrais toujours, debout. Attendant mon tour. De pouvoir posé sur ma frêle tête, ce chapeau. Le choixpeau. J'étais le dernier. Le tout dernier de la liste. Pourquoi. Je ne sais pas. Je me suis avancée, dans cette grande allée. De mes petits yeux gris et de ma cicatrice, j'avançais. J'avançais. La peur au ventre. Avec ses souvenirs de ma famille, ayant répété à chaque phrase, le mot : Serpentard. Je me suis assis sur le tabouret, et le choixpeau, on m'a mis sur la tête. Et dans un murmure, j'ai entendu le doute de cette créature de cuir. Et dans un hurlement « SERPENTARD ». J'ai soupirais. La bonne maison. Je ne serais pas châtié... Depuis ce jour, j'ai pu vivre. J'ai commencé à changer de comportement, et à apprendre ce qu'est d'être un véritable adolescent, un gamin, qui partage passion artistique et compétition entre camarades. Les bons moments ne peuvent plus se compter sur les doigts de la main tant il y en a. J'ai même durant ses années révélées mon véritable potentiel au Quidditch. Qui l'aurait cru ? Et ce tout en ayant le meilleur niveau de l'école à chaque année. J'ai eu même l'occasion de le prouver au BUSES, obtenu avec les meilleurs résultats possibles.
16 ans. C'est à cet âge, et durant ma sixième année que j'ai révélé mes capacités d'Animagus. Sagement caché dans un premier temps, j'ai exploité celles-ci en la compagnie de ma professeur de Métamorphose. C'est d'ailleurs ainsi, qu'à chaque séance dans la salle sur demande, que j'ai provoqué le changement progressif de mes yeux. Vers la fin de l'année, une bagarre s'est même déclenchée dans les appartements de Serpentard. Et bien que je soit apte à me défendre, je fus mis K.O. Un petit tour à l'infirmerie, et à nouveau, une hospitalisation à St Mangouste. J'avais créé ce subterfuge, cette comédie, grâce à mes camarades, pour cacher la véritable raison du changement de couleurs de mes yeux. Au final, je crois que mon meilleur ami ne s'était pas retenu. Coût de la scène, deux côtes cassées, et trois mois de repos. Tant bien, c'était pendant les vacances, quand le contre coup des transformations s'est prononcé chez moi. Une maladie du genre, croisement entre grippe et gastro... Quelque chose qui s'en approche voir pire, je pense.
Ma septième année. Oh diantre que je l'ai apprécié. J'ai surtout apprécié les cours de transplanation , et le fait que je réussissais de plus en plus à devenir un aigle. À ce moment-là, je n'avais réussi qu'une fois à me transformer plus d'une heure, et à volé. La sensation est incroyable d'ailleurs... Les ASPIC ont été du même acabit que les BUSES. Toutes réussite avec un Niveau Optimal à chaque matière. Après le retour à la maison, j'ai utilisé mes dons prononcés pour la comédie à de nombreuses reprises, jouant spectaculairement le jeune homme obéissant. J'ai toujours voulu devenir membres de la société médicomage. C'est étrange comme le fait de soigner des gens nous éloigne énormément des gens que l'on aime. J'en ai parlé par lettre interposée avec ma tendre mère. Tendre. Le mot est devenu : folle, devenu, tout un tas de mots grossiers, ce rapportant à des noms d'oiseau. Oh oui, je l'ai tellement insulté, et pourtant, quand je me retrouvais seul, je me sentais à la fois triste et énervais, de ne pas comprendre pourquoi ma chère Mère ne me voulait pas dans cette formation, mais surtout dans aucune autre, préférant que je me laisse vivre grâce à l'argent de la famille et pas par celui que je pouvais gagner en travaillant. Oh non. Un Gresham ne doit point travailler. C'est d'ailleurs en signe de rébellion que je suis allé dans le centre de Londres, seul, prenant mon courage à deux mains, et passant la porte d'un tatoueur. Étrange non ? J'y suis retournée, de nombreuses fois, excellent de plus en plus dans le mensonge pour cacher mes réelles sorties. Sur mon flanc. Haut de 50 cm et Large d'une dizaine de plus, un aigle. Un aigle, noir, aux ailes déployées, tenant dans ses serres un message sur parchemin : « Destroy me, bleeds me, whatever torture, only my mind will be free ! » Écrit dans de jolies lettrines.
Ma Chère Mère. Oh. Qu'elle malheurs de devoir jongler entre vérité et mensonges. De plus en plus, je suis devenue le jeune homme que ma tante et mes oncles souhaitaient voir sortir. Le garçon sombre, formé chez Serpentard, prêt à rejoindre les rangs. L'insolence à fait, son chemin, j'étais aux bords de pétage de plomb. J'allais certainement faire quelques choses de très grave, et pourtant, je me retenais. J'ai repris l'entraînement, qu'il soit celui d'Animagus, où celui de mes sports de combat. j'ai tenté de faire comprendre à ma mère que je ne la supportais plus même si je l'aimais encore et toujours. Je n'avais pas encore connu la joie d'aimer une autre personne, de partager mes sentiments. Mes années à Poudlard m'avaient permis de rencontrer d'autre personne, de me lier d'amitié avec eux, d'apprendre ce qu'est de vivre en société. Je me sentais de plus en plus mal. C'est comme ça, avec ce malaise, que j'ai commencé à me disputer avec elle. De plus en plus grave. Je me suis souvent réfugié chez Judith. Et ce même s'il, elles entretenaient des relations proches. J'ai définitivement quitté le nid après une énorme dispute qui m'a valu une belle gifle de mon égoïste de mère. Ma valise de cuir, quelques cartons, le tout entassait dans un sac sans fond, et je suis parti m'installer chez Judith. Était-ce un choix judicieux ? Je ne sais pas.
Je ne me suis rendu compte que bien trop tard de la bienveillance de ma tente, proche du pouvoir maléfique d'un certain homme, commençant par la lettre V. Asaël, qui ne pouvait me voir, Charles qui préférait prendre le fouet plutôt que de me parler, était devenu des personnes bien plus « gentilles » à mon égard lorsque j'avais rejoint les jupons de Judith. En vivant sous le toit de la famille Gresham, de sa famille paternel, j'avais le droit à plus de liberté, à plus de sorties, sans que quelqu'un ne se soucie de lui. J'ai ainsi pu commencer ma formation médicomage, mais malheureusement, que pour les cours du soirs...
Les moments de la journée, Judith happé mon attention dans de vieux grimoires, me faisant part de ses astuces, et me montrant une part d'elle, proche du comportement d'une mère. J'ai commencé à me rendre compte de ce sur trop d'attention. En quoi ma tante me changeait-elle. J'ai fait mes recherches. Des recherches qui m'on laisser mordicus. Laissé blanc comme linge. Comment vous dire, que le résultat de ces recherches m'on montrer qu'elle m'avait pris en apprentissage pour me faire devenir, un mage, noir, sombre, au service de cet homme que tout le monde craint ? Et tout ça pour me faire devenir Mangemort. Tout ça pour me pousser à... Diantre. Je ne pourrais me résoudre à devenir un tel homme.
Quel n'a pas été ma surprise d'apprendre, que notre magnifique Hôpital St Mangouste possédait des chambres étudiantes. Mais comment allais-je faire, pour, partir de la maison du Diable, sans me préoccuper de ma mère, et de ma famille ? Et tout cela dans le plus grand des secrets ? Mystères et boule de gomme.
Parle moi de ta particularité, je veux te connaître mon enfant ! :
Un matin, une lettre est arrivée de la part se Seyvr. Mon tendre aigle noir. Se posant sur mon épaule, où j'avais fait renforcer depuis chaque année que nous allions chez la couturière de mes uniformes, une pièce de cuir, m'évitant d'être blessé par ses serres monstrueuses, le bec accueillant une lettre scellée, je pris le bout de papier du bout des doigts tout en marchant dans les couloirs du troisième étage. Seyvr aimait m'entendre lire ce qu'il m'apportait. Malheureusement pour lui, je ne pouvais me permettre de parler à voix haute ici.
La lettre, écrit dans une écriture soignée, douce et absolument magnifique, faisait mention d'un rendez-vous dans le bureau du directeur. Professeur Dumbledore me demandait en personne pour une affaire urgente. Je devais m'y rendre après le repas, au plus vite.
Seyvr à repris son envol, lorsque que je passais la dernière arcade menant aux escaliers mobiles. Je soupirais. Et montait pour me rendre en cours.
Les heures suivantes m'ont paru très longues, le repas sans goût. L'anxiété prenait le dessus. Et comme l'indiquait la lettre, je ne devais en parler à personne. Nous étions en novembre, l'entraînement au Quidditch serait momentanément interrompu en raison des chutes de neiges abondantes. Sortant de table, je montai les marches, doucement, vers le bureau du professeur et directeur Albus Dumbledore. Je soupirais en arrivant là-haut. Et d'un toc, j'entrais dans un bureau où bon nombres d'objet de grandes valeurs y était entreposait. Lui. L'homme à la grande barbe, accompagnait de Dame McGonagall ainsi que de Sir Rogue. Tout trois voulant me parler de mes cours studieux, mais surtout de mes remarquables capacités à devenir un Animagus.
C'est ainsi, qu'après une discussion de deux heures sur le pour et le contre, j'ai commencé, en compagnie de Dame McGonagall, mon entraînement. Un entraînement rude. Que je perpétue toujours d'ailleurs, surtout quand votre mentor vous a répété à longueur d'heure de pratique qu'il faut bien dix ans pour ne faire qu'un avec son animal. J'ai passé de longues soirées à m'entraîner. Nombre de fois où je suis passé à l'infirmerie. Je crois avoir facilement retourné trois ou quatre fois, mes tripes. En l'espace de quelques mois, mon œil droit, à pris une couleur verre d'eau, puis petit à petit, vert, un peu plus foncé. C'est seulement vers la fin de l'année que le changement de couleurs s'est fini. Et c'est aussi à ce moment que j'ai réalisé ma première transformation complète. J'ai été malade tout le reste de l'été d'ailleurs. Pour en rajouter une couche, j'ai fait même mettre en scène une bagarre par mon meilleur ami et des amis, pour me faire, tabasser et ainsi faire croire à ma mère que c'est à cause de cela que l'un de mes yeux avait changé de couleur.
Je me souviens avoir volé pour la première fois, c'était magnifique, ahurissant. J'en avais même peur. C'est même Seyvr qui m'a enseigné. Comme si... Et je vole encore avec lui d'ailleurs, je vole, toujours, pour échapper, aux tourments de ma famille. J'ai encore du mal à me transformer, tant mal, que je tombe encore bien malade. J'apprécie dans ses moments-là, un bon lit et de la tisane... D'après Dame McGonagall, mes yeux vairons se retrouvent lorsque je deviens Aigle. Sur le cou de celui-ci, on voit aussi distinctement une cicatrice, tout comme la mienne...
J'en ferais bon usage.
Vous vous éveillez d'un étrange sommeil, vous vous sentez comme mis a nu mais plus aucun souvenir de ce qui provoque ce mal être. Était-ce un malaise ? Une transe ? Vous n'en avez aucune idée, vous avez un vague souvenir d'une lettre devant votre porte, mais elle n'y est plus.
Et toi, derrière ton ordinateur, tu pensais être à l'abri ?
Pseudo, âge, ville : Redoxina ; 20 ans ; Bordeaux, en cours de transfert pour Nantes.
Avatar du personnage : James McAvoy
Quel est ton tome HP préféré : Hum. Le Prince de Sang-Mélé. J'aime aussi à égalité l'Ordre du Phoenix.
Tu plonges ta main dans un sachet de dragées surprise de bertie crochue, tu en as un au gout de : Bonne question. Toast Grillé.
Demain, on t'offre la possibilité d'avoir un objet issu de l'univers HP, lequel tu prends ? Baguette. Sans aucun doute
Et une créature? Dragon.
Comment as-tu connu Disenchanted? Je crois que je me suis fait alpagué par la petite Ebony, qui soit disant passant ma supplié d'incarner son frère... Juste ça hein.
Un commentaire sur le forum : Sublime ? Terriblement bien agencé. AMAZING ! Sinon, j'aime le chocolat.