Gallions : 7
Une lettre est posée devant votre porte, sur le dessus brille le sceau du ministère. Il s'agit sans doute d'un courrier officiel. Lorsque vous l'ouvrez, il en est tout autrement. Vos yeux se figent aussitôt, ensorcelés par le papier. Il est impossible de les décoller, votre âme est comme aspirée par le contenu de cette lettre qui commence par ces mots...
Victoria Seraphina McGowan
Vous ne pouvez pas m'échapper.
Commencez par les bases en me déclinant votre identité :
Nom, Prénom(s): McGowan, Victoria Seraphina.
Âge, Date et Lieu de naissance : 23 ans, Callander, Écosse.
État Civil:Célibataire.
Profession : Tireur d'élite de baguette magique.
Signe(s) particulier(s) : Les mouvements de Victoria sont souvent très automatiques.
Effet(s) Personnel(s) : Baguette magique et un pendantif représentant un chardon écossais.
Baguette Magique : Bois de prunellier, ventricule de dragon, 27,5 cm, rigide.
J'exige d'en savoir plus ! Vos choix, vos peur, vos désirs et tout ce qui fait ce vous êtes :
Famille: Clan McGowan, d'Écosse.
Pureté du sang: Sang-mêlé.
A Poudlard/Autre école: Poufsouffle.
Epouvantard & Patronus : Sa propre personne vêtue de loques et recouverte de crasse & un berger allemand.
Particularité(s): Aucune.
Comment avez-vous réagi à l'annonce de la mort d'Albus Dumbledore ?
Qui aurait pu croire que Albus Dumbledore périrait? Victoria n'était pas l'une de ses plus grandes admiratrices, mais elle eut un choc lorsqu'elle l'apprit. Elle avait appris alors qu'elle était encore une élève de Poudlard. Elle le croyait, comme bien des gens, invincible. Le fait qu'il soit mort était presque incroyable. Certes, c'était un homme, comme tous les autres, mais il était si puissant! Victoria était plus surprise que boulversée. Cependant, une fois le choc passé, avec les rumeurs qui couraient, elle comprit rapidement que les choses allaient changer.
Vous-Savez-Qui est dans la pénombre, où il règne en maître. Décrivez le ressenti quotidien de votre personnage, sa place au milieu du chaos qui s'étend sur toute l'Angleterre.Les ténèbres, la peur et la souffrance se tapissaient dans l'ombre, c'était évident. Les esprits s'échauffaient et cela donnait du travail à Victoria. Avant, il y avait des journées tranquilles avec quelques petites interventions seulement. Maintenant, un problème n'attendait pas l'autre et les journées étaient de plus en plus chargées. La jeune sorcière n'avait même pas le temps de se poser des questions. Elle agissait, tout simplement. Avec son métier, elle entendait parler de beaucoup de choses. Des rumeurs sur les mangemorts et sur l'ordre du phénix. Qui soutenait-elle? Victoria n'en avait aucune idée. Elle n'aimait pas que l'on tue des gens, que l'on fasse souffrir des personnes simplement à cause de leur sang. Cependant, elle n'agirait sans doute jamais contre. Elle faisait son travail, elle obéissait à son patron, sans poser de questions. Là était sa vie. Au travail.
Pensez-vous qu'Harry Potter soit toujours en vie? Si oui, si votre route croise la sienne, que feriez-vous ? Si Harry Potter était mort, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom l'aurait fièrement exhibé, Victoria en était certaine. Ce garçon était un symbole d'espoir pour tous alors qu'il n'était qu'un bébé et il l'était toujours à ce jour. La jeune sorcière ne le croyait pas mort, mais elle ignorait totalement si le garçon allait prendre part dans ce conflit. Dans un sens, elle l'espérait. Une toute petite part d'elle-même espérait que Harry Potter soit vivant et qu'il mette un terme à tout cela. Il y avait une grande différence entre espérer et agir.
Pour savoir qui tu es j'ai besoin de connaître ton passé :
Callander, une petit village tranquille d'Écosse. Un petit village où il faisait bon de vivre. On y trouvait une majorité de moldus, mais quelques sorciers y avaient trouvés un foyer agréable. Le clan McGowan y vivait depuis une dizaine de génération. C'était un clan de sorcier au sang pur jusqu'à il y a quelques générations. Peu à peu, quelques sorciers mâles du clan tombait sous le charme des moldus du village. Ce fût le cas du père. Il tomba sous le charme de la mère, une magnifique moldue du village. Il lui fit la cours. Elle se laissait courtiser. Le mariage fût particulier. Le petit couple vivait sa vie rempli de joie, restant sourd à la menace de guerre qui commençait à leur parvenir de l'Angleterre. Le couple croyait leur petit village bien trop petit et sans importance pour être un jour attaqué. Ils eurent un enfant. Une petite fille aux yeux bleus profonds du nom de Victoria. La petite eut la chance d'avoir une enfance relativement normale. Tout se passait très bien jusqu'à ses six ans. La guerre était arrivée trop près de leur village. Des rumeurs couraient que le clan McGowan en était une cible, leurs membres étant considérés comme traître à leur sang.
Cette nuit-là, tout c'était passé beaucoup trop vite. Les mangemorts étaient arrivés au village, il fallait fuir. Victoria s'était fait réveiller par son père en panique. On lui enfila un manteau plus chaud et des chaussures et son père transplana avec elle. Où était sa mère? Morte, au salon. La fuite dura plus d'un an. Avec son père, Victoria et son père changeaient d'endroit à tous les trois jours. Il en allait de leur vie. C'était ridicule. Son père mourut d'un bête accident. Il avait raté son transplanage. Il avait manqué sa cible et avait atterrit trop près d'une falaise. Il n'avait eut le temps que de la pousser avant de tomber. Victoria se retrouva seule. Du haut de ses sept ans, elle parvint à se rendre dans la ville la plus près. Elle était en Angleterre et des gens, des moldus, la placèrent dans un orphelinat. Elle était trop petite pour vivre seule. Il aurait peut-être été mieux ainsi. À l'orphelinat, les responsables étaient des femmes très strictes. Elles faisaient respecter les règles sévèrement et le moindre petit plis dans un lit fait valait une correction. Quatre ans dans ce régime suffirait à dompter n'importe qui. Victoria était devenue la parfaite petite fille. Elle faisait ses corvées, elle était toujours bien présentables, elle ne posait pas de questions, elle respectait les règles scrupuleusement et elle ne courait et ne faisait jamais de bruit. L'armée l'aurait adoré.
Lorsqu'un sorcier vint la voir, à ses onze ans, pour l'inviter à Poudlard et, par la même occasion, lui annoncé que la guerre des sorciers étaient finie, Victoria était ravie. Elle n'avait jamais oublié qu'elle était une sorcière et devoir le cacher lui faisait terriblement mal. Cependant, elle se sentait un peu mal de quitter l'orphelinat. Elle avait fait de cet endroit un foyer. C'était loin d'être le meilleur des foyers, mais lorsqu'on suivait les règles, c'était vivable. À Poudlard, c'était de toutes nouvelles règles à suivre. Victoria allait devoir d'habituer.
Les années de la petite sorcière à Poudlard se passèrent bien. Elle avait été envoyé à Poufsouffle, sans doute parce qu'elle ne correspondait à aucune maison. Elle n'était pas la plus populaire, ni la plus intelligente, mais elle excellait en sortilège. Elle ne vécut pas d'amour de jeunesse pendant ses années scolaires. Plus elle grandissait, plus elle devenait maladroite émotionnellement. Elle était toujours un peu en retrait. Non pas qu'elle n'aimait pas les gens, mais elle avait appris, à l'orphelinat, à se tenir plus loin. Les enfants, dans un orphelinat, s'entendaient rarement bien. Chacun vivait à sa façon, du mieux qu'ils le pouvaient. Victoria se concentrait sur ses études. Elle pouvait pratiquer sans relâche un sortilège jusqu'à le maîtriser complètement. À la fin de sa septième année, elle était même parvenu à maîtriser quelques sortilèges informulés. À l'époque, c'était sa grande fierté.
Évidemment, les sortilèges informulés devinrent son quotidien dans la formation qu'elle reçu pour l'emploi qu'elle avait choisi. Après avoir été brigadière pendant trois ans, trois années pendant lesquels elle s'entraînait assidûment pour devenir tireur de baguette magique. Elle excella dans ce métier. Elle était douée et, dès ses trois années obligatoires passées, elle devint tireur de baguette magique. Pourquoi ce métier? Parce que c'était un métier plutôt structuré qui avait ses propres règles tout en étant mouvementé. Victoria détestait passer une journée à ne pas bouger. Elle avait besoin de sentir son corps, sentir ses muscles endoloris par l'effort, pour se sentir vivante. Et se sentir vivante, elle devait le faire pour trois. Elle devait vivre pour ses parents.
À 21 ans, Victoria était devenue une tireur d'élite de baguette magique. Elle vivait seule dans un petit appartement de Londres avec un chien, un dalmatien du nom de Patch. Son travail est ce qu'il y a de plus important pour elle. Elle était toujours jumelé à son mentor, mais ils étaient plus des coéquipiers qu'un mentor et son élève.
Cette nuit-là, tout c'était passé beaucoup trop vite. Les mangemorts étaient arrivés au village, il fallait fuir. Victoria s'était fait réveiller par son père en panique. On lui enfila un manteau plus chaud et des chaussures et son père transplana avec elle. Où était sa mère? Morte, au salon. La fuite dura plus d'un an. Avec son père, Victoria et son père changeaient d'endroit à tous les trois jours. Il en allait de leur vie. C'était ridicule. Son père mourut d'un bête accident. Il avait raté son transplanage. Il avait manqué sa cible et avait atterrit trop près d'une falaise. Il n'avait eut le temps que de la pousser avant de tomber. Victoria se retrouva seule. Du haut de ses sept ans, elle parvint à se rendre dans la ville la plus près. Elle était en Angleterre et des gens, des moldus, la placèrent dans un orphelinat. Elle était trop petite pour vivre seule. Il aurait peut-être été mieux ainsi. À l'orphelinat, les responsables étaient des femmes très strictes. Elles faisaient respecter les règles sévèrement et le moindre petit plis dans un lit fait valait une correction. Quatre ans dans ce régime suffirait à dompter n'importe qui. Victoria était devenue la parfaite petite fille. Elle faisait ses corvées, elle était toujours bien présentables, elle ne posait pas de questions, elle respectait les règles scrupuleusement et elle ne courait et ne faisait jamais de bruit. L'armée l'aurait adoré.
Lorsqu'un sorcier vint la voir, à ses onze ans, pour l'inviter à Poudlard et, par la même occasion, lui annoncé que la guerre des sorciers étaient finie, Victoria était ravie. Elle n'avait jamais oublié qu'elle était une sorcière et devoir le cacher lui faisait terriblement mal. Cependant, elle se sentait un peu mal de quitter l'orphelinat. Elle avait fait de cet endroit un foyer. C'était loin d'être le meilleur des foyers, mais lorsqu'on suivait les règles, c'était vivable. À Poudlard, c'était de toutes nouvelles règles à suivre. Victoria allait devoir d'habituer.
Les années de la petite sorcière à Poudlard se passèrent bien. Elle avait été envoyé à Poufsouffle, sans doute parce qu'elle ne correspondait à aucune maison. Elle n'était pas la plus populaire, ni la plus intelligente, mais elle excellait en sortilège. Elle ne vécut pas d'amour de jeunesse pendant ses années scolaires. Plus elle grandissait, plus elle devenait maladroite émotionnellement. Elle était toujours un peu en retrait. Non pas qu'elle n'aimait pas les gens, mais elle avait appris, à l'orphelinat, à se tenir plus loin. Les enfants, dans un orphelinat, s'entendaient rarement bien. Chacun vivait à sa façon, du mieux qu'ils le pouvaient. Victoria se concentrait sur ses études. Elle pouvait pratiquer sans relâche un sortilège jusqu'à le maîtriser complètement. À la fin de sa septième année, elle était même parvenu à maîtriser quelques sortilèges informulés. À l'époque, c'était sa grande fierté.
Évidemment, les sortilèges informulés devinrent son quotidien dans la formation qu'elle reçu pour l'emploi qu'elle avait choisi. Après avoir été brigadière pendant trois ans, trois années pendant lesquels elle s'entraînait assidûment pour devenir tireur de baguette magique. Elle excella dans ce métier. Elle était douée et, dès ses trois années obligatoires passées, elle devint tireur de baguette magique. Pourquoi ce métier? Parce que c'était un métier plutôt structuré qui avait ses propres règles tout en étant mouvementé. Victoria détestait passer une journée à ne pas bouger. Elle avait besoin de sentir son corps, sentir ses muscles endoloris par l'effort, pour se sentir vivante. Et se sentir vivante, elle devait le faire pour trois. Elle devait vivre pour ses parents.
À 21 ans, Victoria était devenue une tireur d'élite de baguette magique. Elle vivait seule dans un petit appartement de Londres avec un chien, un dalmatien du nom de Patch. Son travail est ce qu'il y a de plus important pour elle. Elle était toujours jumelé à son mentor, mais ils étaient plus des coéquipiers qu'un mentor et son élève.
J'en ferais bon usage.
Vous vous éveillez d'un étrange sommeil, vous vous sentez comme mis a nu mais plus aucun souvenir de ce qui provoque ce mal être. Était-ce un malaise ? Une transe ? Vous n'en avez aucune idée, vous avez un vague souvenir d'une lettre devant votre porte, mais elle n'y est plus.
Et toi, derrière ton ordinateur, tu pensais être à l'abri ?
Pseudo, âge, ville : Naaxy, 21 ans, quelque part au Québec.
Avatar du personnage : Magda Apanowicz.
Quel est ton tome HP préféré : Mmm, le trois et le six !
Tu plonges ta main dans un sachet de dragées surprise de bertie crochue, tu en as un au gout de : Savon !
Demain, on t'offre la possibilité d'avoir un objet issu de l'univers HP, lequel tu prends ? Une baguette magique c:
Et une créature? Un hippogriffe.
Comment as-tu connu Disenchanted? Par la codeuse !
Un commentaire sur le forum : Vous êtes sympathiques, mais les tomates, c'est vraiment pas bon !