Isaac Gresham
Isaac Gresham
« The light that brings the dawn »
Isaac; « time keeps rolling on, i need my absolution »    Lun 20 Avr - 23:38
Gallions : 47
    
Une lettre est posée devant votre porte, sur le dessus brille le sceau du ministère. Il s'agit sans doute d'un courrier officiel. Lorsque vous l'ouvrez, il en est tout autrement. Vos yeux se figent aussitôt, ensorcelés par le papier. Il est impossible de les décoller, votre âme est comme aspirée par le contenu de cette lettre qui commence par ces mots...


Isaac Charles Gresham

Vous ne pouvez pas m'échapper.

Commencez par les bases en me déclinant votre identité :


Nom, Prénom(s): Gresham, Isaac Charles
Âge, Date et Lieu de naissance : 38 ans, né le 7 avril 1958 à Sutton.
État Civil: Marié officiellement, depuis ses 17 ans. Mariage arrangé avec la fille aînée des Carroll, Jasmée. Ils eurent deux enfants de ce mariage, Ebony et Dorian. Il a fuit cette vie à 19 ans, n'ayant plus revu sa femme et son fils depuis.
Profession : Il fut longtemps médicomage au Japon. A son retour en Angleterre, ses années d'expérience lui ont permis de décrocher le poste de Chef des Services à Ste Mangouste.
Signe(s) particulier(s) : Toujours souriant, Isaac dégage une aura bienveillante qui inspire la confiance.
Effet(s) Personnel(s) :Son alliance qu'il porte toujours à l’annulaire, un téléphone portable moldu, identique à celui de sa fille, une dague, Ebony, sa fille, possède le même modèle et un petit cygne en papier jauni avec le temps.
Baguette Magique : Sa toute première baguette était en chêne rouge, contenant un crin de licorne. Elle était magnifique, gravée à ses initiales ainsi qu'aux armoiries de la famille Gresham. Isaac en était fier, il en prenait soin, y tenait comme à la prunelle de ses yeux. Après que son père l'eut brisé sous ses yeux, Isaac acheta la baguette qu'il a toujours en sa possession : une longue baguette verte émeraude de 38 centimètre en bois de cèdre, contenant une plume d'Augurey.

J'exige d'en savoir plus  ! Vos choix, vos peur, vos désirs et tout ce qui fait ce vous êtes :


Famille:
Charles Gresham : le patriarche de la famille Gresham. Homme terrible qui tient d'une main de fer toute la famille. Il fut un des premiers à se rallier à la cause du Lord, lors de la première guerre. Charles a toujours vu en son fils un aîné décevant, malgré des débuts très prometteur. Il offre une petite fortune pour celui qui rapportera la tête d'Isaac sur un plateau.
Lyanna Gresham, née Carrow : L'ombre silencieuse, la mère d'Isaac n'a jamais été démonstrative, à croire qu'elle n'eut jamais ressenti quoi que ce soit pour ses enfants, en particulier envers Isaac, pour qui elle montrait une véritable indifférence.
Asaël Gresham : de deux ans son cadet, Isaac n'avait pas de lien particulier avec Asaël, bien trop à l'image de son père, bien trop parfait. Ce dernier a toujours ressenti une profonde jalousie envers l'aînesse de son frère, et ce mariage arrangée avec Jasmée, pour qui il en pinçait depuis tout petit.
Judith Gresham : Si Asaël est le portrait craché de Charles, Judith a tout pris de Lyanna. Ombre terrible et vive, la mort silencieuse. Ils ne se sont jamais vraiment entendu non plus.
Gabriel Gresham : Son plus jeune frère. Même si de nombreuses années les séparent, c'est avec lui qu'il a le plus de liens et ce fut une des personnes qu'il eu du mal à laisser derrière lui. Si un Gresham devait trahir les convictions familiales à nouveau, ce serait certainement lui. Mais, n'était-ce pas trop tard, à présent?

Jasmée Carroll-Gresham : Son épouse avec qui il n'a partagé que deux années de sa vie, mais ils furent présenté si tôt, qu'il semblait avoir duré bien plus. Ce mariage arrangé fut d'abord mal reçu par Isaac, mais il tomba très vite amoureux, jusqu'à se languir de ses 17 ans pour l'épouser. Se séparer d'elle fut le pire des calvaires qu'il ne souhaitait à aucun de ses ennemis.
Ebony Gresham : Sa fille, son joyau. Il lui rappelle tant sa femme, que ça lui fait terriblement peur. Isaac l'a emporté à l'age d'un an loin d'Angleterre, loin de sa mère, loin des Gresham, loin du terrible destin qui l'attendait, celui d'embrasser les ténèbres à sa majorité.
Dorian Gresham : Son fils, celui qu'il n'a pas pu emporter avec lui, car les serviteurs se jetaient déjà sur lui. Ce souvenir le hante encore la nuit. Laisser ce pauvre enfant grandir aussi proche de sa famille le bouffait. Qu'allait-il devenir? Un mangemort, sans doute. Car s'il se détournait de cette voie, il se ferait abattre.
Pureté du sang: Pur. Terriblement pur. Il le ressent plus comme une malédiction qu'un privilège. Il déteste la nature de son sang autant que sa famille.
A Poudlard/Autre école: Isaac fit sa scolarité à Poudlard, dans la maison Serpentard, maison qui avait accueilli tout les Gresham avant lui. La plupart des élèves le craignaient sans raison, seulement parce qu'il était le fils, l'ainé des Gresham, cette famille connue pour être aux côtés du Seigneur des Ténèbres. En dehors de cette ambiance tendue autour de lui, ses sept années entre les murs du château se déroulèrent sans problème particulier.
Epouvantard & Patronus : Sa plus grande peur mais également son Epouvantard, c'est la mort de sa fille. Ou bien qu'elle se détourne du chemin qu'il a choisi pour elle, et qu'Ebony rejoigne sa mère dans les ténèbres. Son patronus prend la forme d'un Augurey.
Particularité(s): Rien à déclarer.

Comment avez-vous réagi à l'annonce de la mort d'Albus Dumbledore ? Isaac revenait à peine d'une mission, quand il apprit la nouvelle. Le monde semblait s'être arrêté. Leur mentor, leur chef, l'espoir, la victoire venait de mourir, Albus n'était plus. Gresham resta accoudé un long moment à la table de la cuisine, tout en remuant machinalement sa tasse de café déjà vide. Le Seigneur des Ténèbres avait gagné cette guerre, c'était terminé. L'espace d'un instant, Isaac était tenté de s'enfuir à nouveau, de prendre Ebony avec lui et de repartir pour le Japon.
Mais pouvait-il être lâche à nouveau? Alors oui, le plus grand sorcier de tous les temps était mort, mais devait-il arrêter de se battre pour autant? Non! Isaac tapa du poing sur la table pour se redonner du courage. Se battre, jusqu'au bout, mourir en brave plutôt que de vivre en couard.
Vous-Savez-Qui est dans la pénombre, où il règne en maître. Décrivez le ressenti quotidien de votre personnage, sa place au milieu du chaos qui s'étend sur toute l'Angleterre. La panique. Isaac était revenu pour se battre, mais sans doute était-ce un bien mauvais choix. Il n'était pas de ces Gryffondor qui accepte leurs sorts tout en brandissant leurs courages, faisant face au chaos. Il n'avait hérité des Serpents que leur lâcheté, le manque total de bravoure, fuyant le conflit. Sans doute que le Choixpeau aurait-il du l'envoyer à Poufsouffle. Mais il refusait de laisser en héritage à ses enfants un monde dévasté, souillé par le Mal. Isaac se battra, jusqu'à son dernier souffle, même si celle ci pourrait arriver bien plus vite que prévu, car Gresham n'est pas un fin duelliste.
Pensez-vous qu'Harry Potter soit toujours en vie? Si oui, si votre route croise la sienne, que feriez-vous ? Isaac n'est pas du genre à penser que l'avenir du monde magique repose sur les épaules d'un gamin de 17 ans. Mais si il devait croiser sa route, sans doute qu'il l'aiderait à se cacher, lui offrant la sécurité d'un toit et le réconfort d'un repas chaud. Mais oui, bien sûr, un repas chaud, comme si ça allait aider le bien à remporter cette guerre.

Pour savoir qui tu es j'ai besoin de connaître ton passé :



Isaac avait tout du sang pur modèle quand il était gamin, la fierté de la famille Gresham, la relève, l'aîné de la nouvelle génération. Sa première manifestation magique à l'âge de deux ans et demi ne fit qu'alimenter cette foi en un aîné plein de promesses. Il fut élevé dans la traditions des grandes familles de sang pur : seul eux comptaient, les impurs devaient mourir et les moldus réduits en esclavage.

Et une des plus vieilles traditions Gresham, était de marier l’aîné à l’âiné d’une autre famille de sang pur, sans choix possible. Sa famille avait arrêté son choix sur les Carroll, si vénérable, si pure, si vieille, ayant une fille pour aînée. Jasmée. Ils furent présentés très jeunes, plaçant sur le dos de deux enfants le terrible poids d’un mariage arrangé. Isaac avait le privilège de l’aînesse, le privilège d’engendrer la nouvelle génération de Gresham-Carroll, le privilège de représenter ce statut d’exception.

Jasmée. Il l'a rencontra vers l’âge de six ans, lors d’un brunch réunissant les Carroll et les Gresham, dans le manoir de ces derniers, festoyant à leur future alliance, l’unification des deux lignés de pur prestige. Mais ils n’étaient que des enfants. Même si Jasmée avait déjà le port et la dignité de sa famille, Isaac, lui, n’avait qu’une seule envie: jouer avec sa nouvelle « camarade ». Alors, quand il glissa un de ses boullus dans la robe si impeccable de Jasmée, honte et déshonneur furent jetés sur ce gamin indigne d’épouser la Pureté. Charles fit corriger son fils par dix coups de ceinture de la main de Samual, son serviteur favori, devant les Carroll courroucés, pour que son honneur soit lavé.

Il ne fit plus d'écart de conduite pendant les réceptions Gresham-Carroll, se tenant droit comme un I, sage comme une image moldue, bridant tant bien que mal son besoin de s'amuser, de laisser éclater sa joie de vivre. Mais le regard sévère de son père à chaque rire un peu trop fort, tuait son envie de jouer.

Tout ça, ça le dépassait. Isaac pleurait souvent, seul dans son lit, maudissant sa situation. Il ne voulait pas de ce mariage, qui était loin, certes, mais inévitable, comme un sort atrocement cuisant qui serait lancé et qui prendrait un temps terriblement long à percuter sa cible, sans avoir la possibilité de faire un pas de côté pour l’esquiver. Ce n'était pas contre Jasmée, au contraire, mais plutôt de se voir imposer ça, si jeune. D'ailleurs, son petit coeur battait toujours plus vite quand elle était la.

Comme tous les sorciers, il reçu sa lettre le jour de ses onze ans. Sa famille ne l'accompagna pas à la gare, pour sa première rentrée, il fut conduit et déposé par Samual, qui le laissa se débrouiller seul dans cette immense place bondée.

"Personne ne doit tenir la main à un Gresham. Sois un Serpent, ou ne reviens pas."

Lui avait dit Charles la veille. Terribles mots pour "encourager" son fils. Cette phrase le hanta pendant longtemps. Isaac la répéta dans sa tête pendant tout le trajet jusqu'à l'école, puis pendant toute la cérémonie de répartition. Rabâchée tellement de fois que cette réplique gravée au fer rouge fit hésiter le Choixpeau. Serpentard était le dernier choix de ce chiffon, mais la terreur qu'avait ressenti Isaac quand il lui chuchotait qu'il serait bien mieux à Serdaigle, le Choixpeau ne pu que se plier face à cette frayeur qui tordait le visage et les entrailles du pauvre garçon.

"SERPENTARD!"

Soulagement. Isaac avait tellement eu peur d'être rejeté par sa famille, qu'il en oublia toutes ses questions, ses doutes et ses craintes. Il s'était assis à côté de Jasmée, déjà présente à la table des serpents, et se promis de ne plus jamais décevoir son paternel. L'aîné modèle.

Poudlard accueilli donc le représentant des Gresham, ce gamin qui détonnait beaucoup trop avec son statut et sa maison. Il voulait parler avec tout le monde, être aimé de tous, jouer avec eux sans se demander si c'était bien ou pas, alors que les autres Verts et Argents ne restaient qu'entre eux, Isaac allait naturellement vers les autres maisons.

Mais les élèves ne l'entendaient pas de la même manière. Isaac était bien trop gentil, bien trop joyeux, bien trop chaleureux pour être sincère, il était un serpent, il y avait sans doute basilic sous roche. La réputation de sa famille et de sa maison rendait le jugement bien plus noir qu'à la vérité. Alors ils se méfiaient, aucune amitié sincère, des messes basses des qu'il tournait le dos. Si Isaac ne faisait aucune distinction de maison et de sang, pourquoi eux, le faisaient-ils?

Naïf, lors des vacances de Noël de sa deuxième année, Isaac avait raconté le comportement des élèves à son égard, à ses parents. Terrible erreur.

"Tu es un Gresham, ne l'oublie jamais. "

Avait dit son père d'une voix neutre, tout en lui affligeant de bien trop nombreux coups de ceinture. L’indifférence qu'avait son père à frapper son fils ne semblait choquer personne. Ni sa mère, ni ses frères, ni sa sœur. Comme si parler à des "impurs" était bien plus abjecte que de frapper son enfant jusqu'à l'inconscience. Charles fit renvoyer son fils à Poudlard le lendemain. Il n’eut aucun contact avec sa famille jusqu'aux grandes vacances.

Isaac était jeune, mais la graine du doute était plantée. Était-il comme ses parents? Posait-il le même regard sur le monde que le reste de sa famille? Il prenait lentement conscience du fossé entre lui et les Gresham et leurs convictions.

Il fini sa scolarité sans réellement parler à famille, sans écart de conduite, la façade d'un aîné parfait. Mais en lui grandissait cette haine incommensurable pour les sang-pur et leurs idéaux. Il voulait s'enfuir, s'éloigner de ce destin qui n'apportait que destruction et malheur. Ce destin qui ne pouvait que lui apporter du mal. Sauf Jasmée.

Jasmée. Il l'épousa quelques jours après la fin de leur septième année. Le plus beau jour de sa vie. Elle était sa vie, son rayon de soleil. Pour elle, Isaac aurait pu embrasser les ténèbres, et était même décidé à le faire.

Peu de mariages arrangés pouvaient se venter de bien se dérouler. Mais celui ci était parfait. Ils s'aimaient. Le bonheur complet, si on mettait de côté les patriarches des Gresham et des Carroll qui comptaient bien sur leurs aînés pour accomplir leurs devoirs : prendre la Marque et se battre. Par chance, Jasmée tomba enceinte très rapidement, peu après avoir emménagé dans leur petite maison, repoussant cette fatalité.

Elle mit au monde deux joyaux, deux fruits de leur amour. Ebony et Dorian. Dès qu'Isaac vit ces deux amours endormis, il n’eut qu'une idée en tête: les épargner, les écarter de ce destin funeste, de ce poids qui pesait sur les épaules d'Isaac depuis sa naissance.

Leurs enfants avaient moins d'un an quand les épreuves du grand Lord commencèrent. Il le suffisait pas d'être un sang pur d'une famille de prestige pour entrer au service du Lord, il fallait faire ses preuves. Il avait suivi sa femme, se forçant pour elle à faire d'horribles choses. Charles lui avait longtemps parlé du rite d'initiation et de l'épreuve final. Il s'y était préparé, depuis tout petit, à ce jour.

Mais devant le fait accompli, il ne pu s'y résoudre. Sa baguette à quelques millimètre du visage d'un né-moldu qui le suppliait d'épargner sa vie, il ne pu que lâcher son arme. Son père, qui avait compris depuis de trop nombreuses années que son aîné n'était pas digne des Gresham, ramassa sa baguette et la brisa. Il pointa la sienne vers son fils, bien décidé à l'abattre. Isaac transplana avant que le sort de mort ne le percute, direction sa maison, bien décidé à récupérer femme et enfants pour fuir loin, le plus loin possible de toute ces horreurs. Arrivé sur place, il ne trouva pas Jasmée, seulement ses deux enfants profondément endormis. Il eu le temps de réunir quelques affaires avant de se heurter à Samual, le serviteur de Charles, qui semblait déjà être au courant et bien décidé à tuer ce fils qui avait trahis son maître. Isaac n’eut le temps de transplaner qu'avec Ebony, laissant Dorian et Jasmée derrière lui.

Mais il n'était pas prêt à abandonner la femme de sa vie et son fils. Isaac envoya un hibou à sa femme, une longue lettre lui expliquant son geste, et ou elle pouvait le rejoindre, avec Dorian, pour qu'ils vivent ensemble, pour toujours, loin de ces obligations macabres. Il savait sa femme très attachée à sa famille et à leurs idéaux, mais il avait pensé son amour pour lui plus fort. Il avait tord. Isaac avait attendu pendant cinq longs jours, ou il en profita également pour envoyer une lettre à son jeune frère, Gabriel, qu'il n'avait pas à suivre le chemin tracé par leur père et qu'il pouvait le rejoindre également. Il n’eut jamais de réponse. D'ailleurs de la part de Jasmée non plus. Il n’eut que pour réponse la venu de deux mangemorts et d'Asaël, venu pour l'abattre. Isaac eu le temps de partir, mais jusqu'aujourd'hui encore, une question le rongeait : qui de sa femme ou de son frère l'avait trahi?

Il s'installa au Japon avec sa fille, bien décidé à ne jamais retourner en Angleterre. Pourtant, l'envie de revoir Jasmée ne l'avait jamais quitté. Il se souvenait de ses sourires, de la douceur de sa peau, de leurs passions, des nuits entières à la regarder dormir. La douleur de s'en être séparé aussi vite, sans même pouvoir lui dire aurevoir, ne s'en irait certainement jamais. Il trouva un petit appartement dans l'immense ville de Tokyo, tout en suivant des cours par correspondance de medicomagie, ne pouvant pas laisser Ebony seule.

Elle venait d'avoir trois ans quand la magie se manifesta chez le bambin. Isaac était si fier, même si elle avait fait brûler les rideaux de la cuisine. Il emmenait sa fille de partout, ne voulant pas la quitter des yeux ne serait-ce qu'une seconde. Quand il commença a travailler à l’hôpital en tant que medicomage, il fut très vite catalogué de papa poule et également pris pour cible par les célibataires attendries par ce père élevant seul sa fille.

Mais son coeur n'avait de place pour personne d'autre que Jasmée, même aujourd'hui encore. Tous les mois, Isaac envoyait un hibou à son épouse, avec une photo d'Ebony, mais ne donnant jamais d'adresse, de peur que sa famille lui tombe dessus à nouveau. Chacune de ses lettres étaient terminées par " A toi, pour toujours ", les mots qu'il avait murmuré à son oreille le jour de leur mariage.

Ebony grandit à une vitesse folle, lui rappelant chaque jour de plus en plus sa femme. Son portrait craché à cet âge. A onze ans, comme chaque sorcier dans le monde, elle reçu sa lettre pour rejoindre l'école de magie la plus proche : Mahoutokoro. Se séparer de sa fille fut terrible, accentuant la culpabilité qui lui pesait sur le coeur depuis dix ans : ce n'était même pas un centième de ce qu'avait du subir Jasmée. Cette fois-ci, en plus d'une photo de sa fille en uniforme, Isaac lui envoya un bouquet de fleurs.

Il ne menti jamais à Ebony, lui expliquant dans les moindres détails les raisons de sa fuite, ne cherchant pas à s'offrir le beau rôle. Il se savait lâche, il aurait du se battre, s'imposer. Mais certainement serait-il mort, abattu par son père ou son frère. Il inculqua les vraies valeurs qui lui tenaient tant à coeur, que son sang pur ne la rendait supérieur en rien. Mais il voyait tellement Jasmée en elle, il avait si peur qu'elle se détourne du droit chemin.

20 ans. 20 ans qu'il avait quitté l'Angleterre, quand il prit la décision de rentrer au pays. Voldemort était revenu. Il était temps de se battre, de faire face ce qu'il avait fuis 20 ans auparavant. Et Ebony voulait prendre part à ce combat, mais Isaac sentait qu'elle voulait en savoir plus sur sa mère et son frère, c'était inévitable. Il n'avait jamais noirci le portrait de Jasmée, la décrivant comme il l'avait toujours connu. Peut être aurait-il du, pour freiner l'envie de sa fille de rencontrer cette femme qui pouvait si aisément la corrompre. Mais n'avait-il pas envie lui même, d'embrasser cette voie à nouveau, pour la retrouver?

J'en ferais bon usage.




Vous vous éveillez d'un étrange sommeil, vous vous sentez comme mis a nu mais plus aucun souvenir de ce qui provoque ce mal être. Était-ce un malaise ? Une transe ? Vous n'en avez aucune idée, vous avez un vague souvenir d'une lettre devant votre porte, mais elle n'y est plus.



Et toi, derrière ton ordinateur, tu pensais être à l'abri ?


Pseudo, âge, ville : June, 24 ans, Marseille
Avatar du personnage : Misha Collins
Quel est ton tome HP préféré : 3 & 5
Tu plonges ta main dans un sachet de dragées surprise de bertie crochue, tu en as un au gout de : Imaginez le plus atroces, le plus vomitif de tout les gouts. Bhâ ce sera celui ci.
Demain, on t'offre la possibilité d'avoir un objet issu de l'univers HP, lequel tu prends ? Une baguette
Et une créature? Un augurey
Comment as-tu connu Disenchanted? haha :)
Un commentaire sur le forum : Miam